Le jeune chinois avec lequel j'ai partagé mon poisson du Baïkal |
Après une journée de pluie, le soleil passe enfin sous les nuages |
Ainsi un petit hôtel miraculeusement trouvé et qui a du wifi me permet de vous retrouver. (et de prendre une bonne douche!)
Que la journée fut dure: pluie, vent fort de face, montagnes russes, nombreux kilomètres de routes défoncées par des travaux et température de plus en plus froide (8 degrés).
Presque pas de villages et toujours une pitance difficile à dénicher. Ce soir j'ai acheté un poisson grillé (du lac Baïkal) vendu au bord de la route par des babouchkas. Je l'ai partagé avec un chinois échoué dans la même auberge.
Sur la route aujourd'hui j'ai serré les dents en me remémorant le conseil de mon ami Marc: " sois fort et obstiné...".
Je ne regrette pas ma virée à contre-sens au delà du delta de la Selenga qui m'aura permis d'apprécier le Baïkal dans un paysage plus ouvert qu'aujourd'hui où la taïga me le cache souvent.
Pour résumer: une journée dure et froide mais qui n'entame pas ma détermination.
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